En apprendre plus sur les neurosciences…
Chaque année, la FRC Neurodon soutient près de 100 chercheurs en neurosciences et les accompagne dans la connaissance du cerveau et de ses dysfonctionnements, afin de guérir les maladies neurologiques et psychiatriques.
La recherche en neurosciences, un intérêt commun !
Les maladies neurologiques et psychiatriques sont souvent considérées à tort comme drastiquement différentes :
- la maladie d’Alzheimer est généralement résumée à une perte de mémoire,
- la maladie de Parkinson à des problèmes moteurs,
- l’épilepsie à des convulsions,
- la dépression à une grande tristesse et perte de motivation…
Or, la recherche en neurosciences nous montre que de nombreux points communs unissent les pathologies du cerveau et qu’il est primordial de comprendre l’organe dans la transversalité.
En faisant avancer la recherche fondamentale sur l’organe Cerveau, on fait avancer un intérêt commun sur la connaissance et la compréhension de toutes les pathologies liées au cerveau, qu’elles soient neurologiques ou psychiatriques.
Les traitements jusqu’à présent symptomatiques ou palliatifs pourraient être plus efficaces, préventifs, voire curatifs.
La solution contre les maladies neurologiques et psychiatriques, c’est la recherche.
Alors, ensemble, aidons les chercheurs à déchiffrer le cerveau !
Pour rester informé des dernières actualités de la recherche sur le cerveau :
Vous souhaitez nous poser une question concernant la recherche ou la FRC Neurodon ? N’hésitez pas à nous contacter via notre formulaire de contact en cliquant-ici.
Photographie © Inserm
La recherche fondamentale
Avant de pouvoir soigner, il faut d’abord comprendre. Comment serait-il possible d’établir des traitements et thérapies sans d’abord connaître le cerveau dans sa globalité ? La recherche fondamentale est en amont de la recherche clinique. Elle a pour objectif de comprendre les fonctionnements et dysfonctionnements d’un organe.
Pourquoi soutenir la recherche ?
« Il y a 5 ans les médecins ont pensé que mon mari souffrait de la maladie de Parkinson mais son état s’est dégradé trop vite. Après de nombreux examens et jours d’angoisse, ils ont diagnostiqué sans grande conviction « une maladie neurodégénérative ». Depuis, il a perdu toute autonomie et souffre de troubles intellectuels. Le plus difficile est de ne pas pouvoir mettre de nom sur le mal dont il souffre et de n’avoir que peu d’espoir qu’un traitement soit trouvé. C’est pourquoi, je soutiens la Fédération pour le Recherche sur le Cerveau. Pour qu’un jour sa maladie ait un nom et peut-être puisse être soignée. »
Jeanne 62 ans, épouse de Paul 72 ans
(photo d’illustration)